Auteur/autrice : Jacky Chevillon Page 3 of 5

Aujourd’hui un peu de répit

Le rdv avec Yessid est à 10h30 ce qui laisse le temps de se lever un peu moins tôt, de communiquer, de mettre à jour le blog etc…

André chez le coiffeur

Nous nous retrouvons à proximité de la douane, l’objectif est de faire des prises de vues d’André sur le chemin des bureaux douaniers

La voiture aussi

Enfin nous avons le temps de prendre des photos de la ville.

Quartiers d’habitations : immeubles et maisons presque individuelles

 

Retour pour déjeuner en face notre hôtel .

Le dessert passe dans la rue

Visite chez un électricien pour vérifier la tension de charge qui est correcte bien que le voyant de charge soit allumé.

  

À 16 h nous retrouvons Félix pour nous filmer en train de flâner en touristes

Nous en profitons pour découvrir la vieille ville

  

Le passage des esclaves : c’est à cet endroit qu’ils perdent leur identité

Un voilier à quai pour rappeler d’où venait les esclaves

À 17h, nous continuons notre visite avec les amis de Marie Julie et André sur les remparts d’où l’on domine la vieille ville

  

Et au loin la ville nouvelle avec son quartier d’affaires bien de chez nous

Un peu de folklore

Un peu de romantisme

Qui aiguise l’appétit …

 

 

 

 

Ce matin rendez-vous chez le transitaire pour l’embarquement de la voiture en direction de Colon au Panama. Bien sûr avec nos amis du reportage.

Préparatifs avant le rdv

La voiture sera déposée au port le 15/03, les formalités de douanes se feront le 16 ou 17 et la voiture arrivera à Colon le 19/03.

  

Yesid nous donne rdv dans la vieille ville à 15h pour filmer la ds dans les rues de la vieille ville et faire les Interview de présentation de notre aventure.

En attendant, nous partons retrouver les amis de Marie Julie et André : Gino et son épouse à leur hôtel, pour la pause repas.

Puis nous allons chercher la Ds à notre hôtel. Elle ne démarre pas, l’essence déborde du carburateur. Démontage, soufflage etc, elle démarre enfin. C’est toujours comme cela, les caprices ne sont jamais au bon moment.

Avec 15 minutes de retard nous retrouvons Gino, Glameyris, Yesid et Félix à la tour de l’horloge au beau milieu de la vieille ville.

     

C’est l’attraction du moment !

Tournage

Puis nous nous dirigeons vers la plage pour les Interviews à l’heure du coucher de soleil avec Chloé, une française interprète de l’Alliance Française.

Préparatifs toujours très minutieux et longs

André passe à la moulinette

Puis c’est le tour de Jacky

La ds sous les projecteurs

Pendant ce temps trempage de pieds dans la mer des Caraïbes très très tempérée et dégustation de crevettes pour ceux qui aiment.

Nous terminons cette journée épuisante au resto.

Dans la rubrique caprices de la Ds, le voyant de charge reste allumé environ 20 minutes puis s’éteint, Jacky va questionner ses amis du club Ds en Provence et trouver un électricien cet APM pour faire quelques mesures.

 

 

 

 

Hier matin Manuel, le journaliste d’Ibague nous informe que nous avons rendez-vous avec une équipe de tournage qui vient de Bogota à 14h à environ 20km de Cartagena. A nouveau nous partons à 6h de Curumani car le trajet n’est pas très roulant.

Notre route passe toujours par des régions d’élevage avec leurs prairies à perte de vue

Et leurs estancias

    

Pause hydratation, toujours au jus de fruits naturel, dans une ville à mi chemin, avec les taxis-moto

  

Qui peuvent aussi transporter du fer à béton

  

Quelques photos sympas et colorées

  

La SNCF s’exporte !!!

  

Nous retrouvons une forme d’humidité en traversant le Rio Magdalena avec la faune et les pêcheurs. Nous suivons ce fleuve depuis Ibague.

  

Arrivés à proximité de Cartagena, André cherche un coin sympa et trouve un lieu de villégiature, une vraie oasis de verdure pour recevoir l’équipe de tournage.

Avec quelques singes

Avec deux heures de retard l’équipe de tournage arrive et nous informe de l’origine de ce reportage et de la suite.

En décembre, un client du Garage de Rafa s’est extasié devant la Ds. Après avoir pris connaissance de l’histoire, il décide d’en parler à un ami qui fait des reportages pour la chaîne de télévision UNIVISION, basée à Miami. L’idee séduit la chaîne pour l’émission « aqui y Agora ». L’équipe, Yesid et Félix, venue de Bogota, devrait nous suivre jusqu’à Mexico.

Nous tombons un peu du placard, au début nous pensions que ce reportage serait pour une télé locale et nous étions loin d’imaginer la tournure des évènements. Malgré les contraintes, nous sommes assez contents.

Aujourd’hui les prises de vue seront sur l’entrée de la ville et dans la vieille ville

        

Jacky en ramassant son smartphone fait un écart et frotte un camion

Bob Neyret va avoir la haine .

Une courte promenade dans la vieille ville

Pour finir la journée : un peu de musique

 

 

6h30 Cap au Nord, accompagnés de Rafa, Alexander (le contremaître) et Manuel le journaliste, pour filmer notre départ.

Ils vont nous suivre, nous dépasser et ainsi de suite pendant 20km

Nous nous séparons autour d’un jus de fruits de l’amitié

Quel plaisir de rouler avec un embrayage qui ne siffle plus et le pavillon qui ne tape plus.

Nous quittons Ibague par la vallée du Rio Magdalena que nous suivrons presque jusqu’à Cartagena. Avec, dans un premier temps, des cultures de riz et la montagne au loin,

puis alternance de maïs et de palmiers

Plus nous montons au nord plus la nature devient aride.

Nous passons devant une base militaire, cocorico avec des Mirages exposés, Tanguy et La verdure posent devant

Les cultures font place à des prairies et des petites forêts

    

Et des puits de pétrole, pas étonnant que le litre d’essence soit à 0.60€

À un contrôle de police nous sommes arrêtés. André palabre car il n’a pas eu le temps matériel de prendre une assurance avant le weekend car pour s’assurer il faut le document d’importation provisoire. Les policiers sont indulgents et nous font un cours de code

La température tempérée d’Ibague fait place à une température torride.

Arrêt réhydratation au milieu de nulle part avec des jus de fruits naturels et  le  WiFi !!!

 

 

 

 

 

 

La matinée est chargée par les dernières finitions de la voiture

La retouche de peinture du pavillon

La ceinture de sécurité pour la place arrière

La mise en place des plaques de protection moteur et bv dans la bonne humeur. Malgré la difficulté du travail on se fait un selfie

  

Le garage ressemble à un studio

Rafa, le patron du garage est interviewé sur son activité et sur l’aide qu’il nous a apportée.

Jacky fait de la pub pour le club  « Ds en Provence »

  

Une photo souvenir avec les journalistes

Une photo souvenir avec toute l’équipe du garage

Arrive midi et c’est le pot de fin de travaux avec un gâteau badgé 12 comme le numéro de la voiture et du comté exporté du Jura par Marie Julie et André.

Après la fête, première sortie en échappement libre de la Ds depuis trois mois. Nous suivons Oscar notre guide pour aller chez un fabricant de pots d’échappement, bien sûr nous avons oublié les vis et colliers, Jacky saute sur la moto d’Oscar.

Le nouveau pot est fabriqué à l’identique du pot compétition d’origine rongé par la rouille.

Photo à venir

La fabrique est dans une grange où se trouve une multitude de machines maison à emboutir, cintrer, sertir. Le patron est très organisé avec son panneau de gabarits, les pièces faites en série.

    

Jacky regrette de ne pas avoir pris les cotes du pot de sa Gs birotor.

Retour au garage avec un bruit de frottement, pas entendu à l’aller car la Ds était en échappement libre.

Un calage de la plaque de protection évitera au disque de frotter sur celle ci.

La journée se termine par un réglage de frein à main, la pression des pneus et le chargement des affaires dans la Ds.

Demain départ 6h30

 

 

 

André, toujours à Bogota obtient la prolongation temporaire d’importation après quelques rebondissements. En effet un décret du 6 mars 2018 impose des formulaires de présentation différents et nos douaniers très dévoués s’en rendent compte au moment d’éditer le document tant attendu.

André stressé, mais heureux, devra attendre la fin de matinée pour aboutir et revenir sur Ibague.

Au détour d’une rue, une 404 première génération apparemment dans son jus.

Au garage ce sont les finitions sur la voiture :

Fixation définitive du pavillon avec le positionnement du joint

  

Soudure des fissures qui implique une retouche de peinture

Et mise en place d’une patte centrale pour bien plaquer le pavillon

  

Mise en place des phares de côté avec support de rétroviseur

Photo à venir

Entretien : bougies, filtre à air, vis platinées

Toujours sous le feu des caméras

  

Le soir le contremaître Alexander nous invite à dîner chez lui.

Une grande et belle famille nous attend car Maman, sœurs, beau-frère, fils, cousins partagent la même maison

Nous sommes reçus comme des rois selon la tradition : les invités sont à table avec le maître de maison et le fils, tout le reste de la famille est assis à nous regarder et participer aux discussions

Nous terminons la soirée par une promenade, nous croisons un petit parc de loisir comme il y en a partout en Colombie et où les sportifs peuvent éliminer leurs calories

  

Et toute la famille nous accompagne à notre hôtel

Belle soirée, merci à Alexander et à sa famille

 

Tôt ce matin André est parti pour le bureau des douanes de Bogota pour une formalité.

Mais la formalité se complique : le service des douanes doit vérifier que la voiture est bien en Colombie. Deux douaniers d’Ibague, en début d’APM, viennent voir la voiture, prennent des photos, vérifient les numéros de châssis et transmettent les info à Bogota. Maintenant André peut payer l’amende mais le bureau de recouvrement est fermé. Il va donc passer la nuit à Bogota. Dur ! Dur ! Bien que le bureau des douanes se soit mis en quatre pour faire au plus vite.

Il n’y aura pas de photo des douaniers à l’œuvre car bien que très sympathiques, nous ne voulons pas risquer de les froisser.

Pendant qu’André fait de la chaise longue forcée dans la salle d’attente du bureau des douanes, Jacky avance bien sur la Ds avec ses nouveaux copains .

     

Avec des parties de rigolades que Marie Julie n’a pas manqué d’immortaliser.

 

Mise en place du pavillon, ce n’est pas une réussite car le carrossier n’a pas respecté  l’arrondi et lors de la mise en place des fissures sont apparues, dommage la peinture était réussie.

 

À la fin de la journée la voiture est remontée et fonctionnelle.

Une banquette, confectionnée par un sellier, est installée à l’arrière à la demande d’André.

À midi, pendant le repas Marie Julie reçois un cours sur les bienfaits du pili-pili

  

La journée de la femme vu par le bureau des douanes d’Ibague

  

La journée commence par une bonne nouvelle : Air France a tenu ses promesses, les bagages d’André et Marie Julie sont arrivés ce matin au premier avion.

À 10h30 les travaux de remontage peuvent commencer.

Et ce sera une première pour Jacky : faire de la mécanique devant les caméras d’une chaîne de télé colombienne.

   

En effet une chaîne de télé s’intéresse à notre aventure et projette de venir finir leur reportage à Carthagène.

Pour accélérer le remontage Jacky reçois l’aide d’un jeune mécanicien du garage, cela tombe bien car il a un torticolis.

Pendant ce temps André se bat avec les douanes car la demande de prolongation de l’autorisation importation n’a pas été faite dans les délais. Mais deuxième bonne nouvelle de la journée, il n y a plus qu’une formalité à faire à Bogota.

Le pavillon qui avait souffert des vibrations et d’un mauvais calage est en cours de réfection

 

La liaison Bogota Ibague se fera en mini bus (20 places) dernier cri avec Tablette et wifi à bord

Avec bien sûr les bouchons et la pollution de Bogota

Quelques photos de la région montagneuse traversée

   

On y trouve des super belles maisons

Des moins belles en beaucoup plus grand nombre

Beaucoup de producteurs de fleurs

  

Nous nous retrouvons avec André et Marie Julie au garage de Rafa, avec toujours des voitures insolites:

  

Nous commençons à organiser les travaux de remontage, la Ds est  mise sur un pont élévateur ce qui sera plus confortable pour travailler.

Les bagages d’André sont promis pour demain, nous croisons les doigts.

Nous passons la soirée avec Rafa qui nous fait visiter le centre d’Ibague.

  

Sur la Place d’Armes nous trouvons des caféiers

La soirée se termine par une spécialité mexicaine

Et une séance de travail sur le meilleur itinéraire à prendre pour rejoindre Carthagène

Départ perturbé par le Brouillard, de Genève pour André et Marie Julie son épouse qui finalement va nous accompagner.

Départ de Paris pour Jacky.

Le départ en retard de Genève a engendré une correspondance au pas de course pour Marie Julie et André et les bagages n’ont pas suivi.

Gros stress car les pièces sont dans les bagages d’André.

Quelques photos de New York depuis Newark.